Nafs. L'avis du président de la commission, l'Allemand Sac a main Hans-Joachim Eckert, vaut surtout quand il explique que la ligne entre corruption et lobbying est très mince : On ne sait pas toujours clairement dire à partir de quel moment le lobbying devient une conduite incorrecte. Quant à la corruption, le principal problème est de la prouver. Pour Eckert, seuls les nafs pensent que des enveloppes de cash sont distribuées en échange de votes : La corruption […] s'exerce de faon beaucoup plus sophistiquée, avec des transferts d'argent via différents comptes de consultants, trusts, entreprises offshore… La commission, qui n'a aucun pouvoir coercitif, admet Eckert, dépend de la coopération de certains individus : si personne ne parle, ou si certains refusent d'être entendus, elle se trouve démunie. Il n'empêche que, selon tn requin eu Eckert, l'enquête de Garcia démontrela conduite douteuse de deux personnes nike tn lyon agissant comme conseillers ou consultants auprès de l'équipe de candidature du Qatar. Mais il n'y a pas de quoi annuler l'attribution du Mondial, selon lui. Doha a payé le congrès de la CAF (Confédération africaine de football) en Angola en2010 pour 1,8million de dollars Aucune règle n'interdit ce type de parrainage. Néanmoins, compte tenu du manque de transparence, cela a créé une impression négative. Mais l'intégrité du processus n'est pas affectée. Ouf ! Ceux qui ont conclu que les Africains ont ensuite voté pour le Qatar peuvent ravaler leur bile. Ponte. Autre couac : Mohamed bin Hammam, Qatari et membre du comité exécutif de la Fifa, exclu à vie de toute activité dans le foot en2011, a fait des paiements incorrects à des pontes de la CAF, mais pas pour promouvoir la candidature du Qatar : c'était pour appuyer ses visées air max 90 essential pas cher,nike air max 90 2007 femme,nike air max 85 personnelles sur la présidence de la Fifa en2011. Re-ouf ! Il a aussi offert 1,2million de dollars à Jack Warner, ancien vice-président de la Fifa, un paiement contraire au code de l'éthique, mais non relié au vote pour le Qatar, estime la fédération. Tout comme son paiement à un autre ponte, Reynald Temarii (Confédération océanienne). Au-delà du Qatar, il y a des pratiques contestables dans presque toutes les candidatures examinées, selon la Fifa, qui se fait un petit plaisir en taclant l'Angleterre, particulièrement critique envers elle : candidate malheureuse pour2018, la Perfide Albion aurait trop bien traité l'Américain Jack Warner, depuis suspendu. La Fédération anglaise a répondu sèchement qu'elle n'acceptait aucune critique.
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