VIDÉO - TN Pas
Cher Cachée dans un placard, cette chrétienne de 19 ans priait pendant que les islamistes accomplissaient leur sinistre besogne. D'autres survivants racontent les détails glaçants du massacre qui a fait 148 morts. Trois jours de deuil national ont été décrétés.
Deux jours après le carnage de Garissa, le Kenya traumatisé pleure ses morts. Le président kényan Uhuru Kenyatta a décrété samedi trois jours de deuil national. «Je décrète trois jours de deuil, durant lesquels nos drapeaux seront mis en berne», a déclaré, dans une allocution télévisée depuis la présidence, Kenyatta qui ne s'était pas exprimé depuis la fin jeudi soir de l'attaque.
Les islamistes Chebab ont déjà promis, TN Pas Cher eux, d'autres massacres à venir. «Si Dieu le permet, rien ne nous arrêtera dans notre vengeance des morts de nos frères musulmans jusqu'à ce que votre gouvernement cesse son oppression et jusqu'à ce que toutes les terres musulmanes soient libérées de l'occupation kényane», ont lancé les Chebab dans un communiqué publié en anglais samedi matin. «Jusqu'à cette date, le sang va couler à flots rouges dans les villes du Kenya, cela va être une longue, épouvantable guerre dont vous, la population kényane, êtes les premières victimes».
Le dernier bilan du massacre méthodique de jeudi est de 148 victimes: 142 étudiants, trois policiers et trois militaires. Auxquels il faut ajouter 104 blessés, certains dans un état critique. C'est l'attaque la plus meurtrière sur le sol kenyan depuis l'attaque terroriste perpétrée par al-Qaïda contre l'ambassade américaine à Nairobi en 1998, Nike
TN qui avait fait 213 morts.
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