jeudi 23 avril 2015

Un match rendu capital dans la course au titre par le rythme que Lyon impose dans le sprint final

Nike TN Paris doit se remettre la tête à l'endroit. Et vite. Quatre jours après leur défaite à Barcelone (0-2) en quart de finale retour de la Ligue des champions, les hommes de Laurent Blanc basculent demain sur le championnat et la réception de Lille. Un match rendu capital dans la course au titre par le rythme que Lyon impose dans le sprint final. Face à des Nordistes qui restent sur trois victoires d'affilée en L 1, les Parisiens ont l'occasion de reprendre la tête du classement avant le déplacement de l'OL à Reims dimanche (21 heures). Une place de leadeur qui leur est promise à l'issue du championnat s'ils réussissent le parcours parfait lors de leurs six derniers matchs, un de plus que la bande de Lacazette et Fekir.

TN Pas Cher La troupe de Thiago Silva, dont la présence demain n'est pas encore assurée après avoir de nouveau manqué l'entraînement collectif hier, est-elle capable de vite rebondir ? En privé, les joueurs affichent quelques certitudes sur leur détermination à décrocher un triplé historique. « Ils s'étaient déjà fait une raison sur l'impossibilité de se qualifier après le match aller et tiennent à conserver leur titre en L 1 », assure un proche du vestiaire. « Contre Lille, il faudra s'imposer pour montrer qu'après l'élimination en Ligue des champions, on souhaite offrir le championnat à nos supporteurs », a déclaré Serge Aurier au micro de PSG TV.

Les sourires sont revenus

Les Sac a main doutes de certains se concentrent davantage sur les capacités du club à construire rapidement une équipe capable d'aller disputer le sacre continental aux monstres que sont le Barça, le Bayern Munich ou le Real Madrid. Des questions dont les réponses viendront, ou pas, cet été.

En attendant, les joueurs affichaient hier à l'entraînement les sourires perdus lors de leur soirée barcelonaise, même si quelques-uns étaient restés aux soins (dont Thiago Motta et Matuidi). Laurent Blanc a rappelé à chacun que la saison ne s'était.


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